Les études du Dr Staffan Lindeberg (université de Lund en Suède) menées sur les dernières populations de chasseurs-cueilleurs (indigènes de l’île de Kitava en Papouasie Nouvelle Guinée) nous rapporte que les maladies modernes comme l’hypertension artérielle, les caries, la tuberculose, l’acné, le diabète, les AVC, l’ostéoporose, les maladies auto-immunes… n’existent pas chez ces populations.

De même, plusieurs études récentes ont démontré que le risque de cancer du sein est 4 à 7 fois plus faible en Asie qu’aux USA. Les femmes asiatiques qui migrent aux USA voient leur risque augmenter de 80 % au bout de 10 ans. Une génération plus tard, leurs filles ont un risque identique à celui des femmes américaines. On comprend donc l’impact de l’environnement et de l’alimentation sur ces maladies.

Ces constats ont amené certaines personnes à adopter une alimentation « paléo » qui est celle des chasseurs-cueilleurs au cours du Paléolithique afin de maintenir notre corps en bonne santé et optimiser nos performances sportives et mentales.